2017
Alexia CHEVROLLIER
La fabrique des possibles
Paysages crus
Exposition réalisée à la Chapelle du Carmel à Chalon-sur-Saône grâce au soutien du Grand Chalon et de le Ville de Chalon-sur-Saône. Ouverte au public du 4 mars au 30 mars 2017.
​
Des pliages de terre posés en équilibre sur des poutres de bois, des pièces en verre déchu disposées ici et là cohabitent avec des chutes de cuirs. C’est dans un univers étrange que nous invite l’artiste à déambuler dans la Chapelle du Carmel. Pour sa première exposition personnelle Alexia Chevrollier envisage la chapelle comme un tableau de paysage. Elle ne veut pas faire une représentation généralisante de la nature mais offrir un cadrage. Par une sculpture épurée, des formes simples et des matériaux élémentaires, l’artiste conçoit une mise en scène dans laquelle elle questionne les éléments du paysage tel que le point de vue, l’horizon, l’attente.
Alexia Chevrollier aplatit la terre jusqu’à en obtenir des feuilles. Une simple tension, un pliage, un transfert font naître une forme. Des formes instables, fragiles, légères qui contrastent avec la rigidité des poutres en bois sur lesquelles elles se déposent. Les sculptures semblent être traversées par une volonté d’animer la matière. Cette quête de la forme est indissociable du matériau que l’artiste travaille de manière quasi fétichiste. Elle répète souvent ses gestes comme lors d’un rituel. Ces actes apparemment isolés, comme le fait de disposer les pièces dans la chapelle font resurgir en nous le souvenir de la liste de verbes proposée par Richard Serra en 1967. « To roll, to curve, to fold… » résonnent alors comme un manifeste que l’artiste applique de multiples façons sur ses matériaux.
A l’occasion de l’exposition, certaines œuvres sont mises en forme au moment de l’accrochage. Alexia Chevrollier privilégie dans son travail une certaine spontanéité où expérimentation et hasard coexistent. Les éléments sont posés, disposés, rarement fixés dans l’espace. La notion d’équilibre est importante. Les sculptures vivent au rythme de l’installation. La terre non cuite sèche lentement, enregistrant les variations chromatiques qu’elle subit. Plutôt qu’un produit terminé, les sculptures font surgir un procédé où la forme est souvent le résultat d’un processus plus ou moins maîtrisable. En accordant une place à l’improvisation, l’artiste interroge la limite entre l’objet « fini » et l’objet « se faisant », reliant ainsi l’événement de l’exposition aux pratiques d’atelier. L’exposition se déroule dans une dynamique où disparition et devenir se confrontent. Souvent fragiles, délicates, les sculptures d’Alexia Chevrollier tiennent à un fil, révélant ainsi leur érosion programmée.
Alexia Chevrollier
Vit et travaille à Paris
Diplôme :
-
2016/2017 : Master de recherche esthétique, Paris 1 Sorbonne
-
2014/2015 : Licence 3 Philosophie esthétique, Paris 8, Saint Denis
-
2012 : DNSEP / Master II Art félicitations du jury. Ecole Nationale Supérieure d'art de Dijon.
-
2010 : DNAP Art avec mention. Ecole Nationale Supérieure d'art de Dijon.
​
Exposition Collective :
-
2013 : « Avez-vous vu des vaches, des oiseaux ? », Longchamp, France.
-
2012 : « Phalène », galerie la Porcherie, Métreux-le-Pitois, France.
-
2012 : Entre Cour et jardins, Dijon et Barbirey sur Ouche, France.
-
2012 : Vidéo, Formica, présentée au festival Dieze, Dijon.
-
2011 : Nuit de la vidéo, au centre Pompidou de Metz, Metz, France.
-
2011 : « Espace publique » au parvis Saint Jean, TNB, Dijon, France.
-
2010 : « Les péripéties de l’invention » galerie Interface, Dijon, France.
-
2009 : « Mettez-vous aux vert » au jardin de Barbirey-sur-Ouche, France.
-
2009 : Exposition sur les statements de Laurence Weiner au centre d’Art contemporain de Pougues-les-Eaux, France.
Performance :
-
2010 : Dépouille délectable, performance au Parvis saint Jean en partenariat avec le TNB, Dijon, France.
-
2010 : New Artaud beat box, performance en partenariat avec le TNB, Dijon, France.
-
2009 : Cymbales, performance au centre d’Art contemporain de Pougues-les-Eaux, France.
Prix :
-
2014 : Finaliste sélection « vidéo » pour le prix international "Talents contemporains"
-
2014 : Lauréate Prix Jeune Talents Côte - D’or 2013, création contemporaine.
Résidence :
-
2016/2017: résidence à la Halle Papin, Soukmachine, Pantin.
-
2014-2015 : Parcours starters, Art et culture au collège La croix des Sarrasins, Auxonne, France.
-
2012-2013 : Au lycée de céramique Henry Moisand, Longchamp, France. (Octobre 2012 - Juin 2013)
Workshop :
-
2013 : Intervention en classe BTS Concepteur en Art et Industrie Céramique, thème : Le temps, au lycée de céramique Henry Moisand, Longchamp, France. (Janvier)
Publication :
-
2013 : Interface appartement / galerie • 2007- 2012 • Dijon.
Autre :
-
2014 : Intervention publique sur le thème de l’echec dans le cadre de biopicnic de Meggie Schneider et Simon Fravega festival hors-pistes, Centre Pompidou, France.
-
2011 : Vidéaste pour le spectacle « Oreilles tombantes, groin presque cylindre » de la compagnie contre-points.fr, Dijon, France.
-
2011 : Vidéaste pour le spectacle « Requiem » des derniers Hommes, Dijon, France.
​
Vue de l'exposition
Jeanluc HATTEMER
Sculptures
Bains, paysages, promenades, jouets
Exposition du jeudi 11 mai au samedi 3 juin 2017
Chapelle du Carmel
16 rue de la Motte - 71100 Chalon-sur-Saône
Entrée libre - tous les jours de 14 à 18 heures sauf le mardi
Tél. 03 85 93 90 18 Site internet : www.artimage-chalonsursaone.eu
​
--------
​
Jeanluc HATTEMER
Sculpteur
Né en 1960 à Erstein
Etudes à l’Ecole des Arts décoratifs de Strasbourg
Vit et travaille à Imbsheim
--------
Après une enfance dans le Ried de l’Andlau, Jeanluc Hattemer rentre à l’École Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg pour continuer d'apprendre la peinture et il y découvre la sculpture.
Il est amené très tôt à travailler et à sculpter pour des tailleurs de pierre. Jeanluc Hattemer a ensuite mené des chantiers de restaurations du patrimoine rural tels les calvaires ou des interventions paysagères.
Les pratiques de la taille directe, la copie et la confrontation avec les monuments, souvent des hiérophanies, ont nourri son travail de recherches artistiques personnelles et posé un équilibre fragile entre le tâcheron, le sculpteur et l’artiste.
"Jeanluc Hattemer est un sculpteur de formes dont la poétique découle d’un désir de toucher au plus près la relation souvent insondable qui existe entre le corps, l’objet et l’espace sensible. Loin d’être conçues comme des objets en soi, ses oeuvres se manifestent en marquant l’espace réel, en se confrontant à son échelle, à sa densité, dans une relation subtile qui en sous-tend les formes. Fondant son travail sur une économie de moyens, un geste simple et concis, Hattemer prends pour modèle des objets de toute nature, souvent empruntés à l’univers domestique. Passoires, poupées, baignoires, chaudrons, boîtes, brouettes, tables et tabourets, ces objets le stimulent par leur matérialité et les pratiques, les gestes ou les intentions qu’ils impliquent dans l’espace: se baigner, se laver, s’asseoir, porter, se déplacer...Parfois directement prélevés dans l’environnement immédiat pour être recomposés, ces objets sont le plus souvent sculptés de manière traditionnelle, à l’image de nombreuses baignoires et cuvettes qu’il taille et creuse dans l’albâtre puis évide jusqu’ à la transparence pour laisser circuler l’air. Dans cette relation triangulaire entre le corps, l’objet et l’espace, le sol est pour l’artiste un vecteur essentiel. Porteur de notre verticalité, il est avec le regard le premier contact avec l’espace environnant. C’est ainsi qu’Hattemer propose en 2012, pour l’exposition « Monumenta 5 » au grand Palais, une « brouette miroir », laquelle, mise à la disposition du public, propose de transporter le monde à l’échelle de son corps.
Posé au sol également, « à l’échelle du saisissable », Paysage est un fragment de nature, un petit poème haïku, né de la rencontre entre un « chaudron colline » et un nuage sculpté dans un bloc d’albâtre."
Michèle Moutashar (commissariat, conservateur en chef du patrimoine,
Directrice du musée Réattu), catalogue de l’exposition NUAGE, Arles, 2013, Actes Sud.
--------
L’espace global, extérieur, naturel me semble être une image colorée constituée d’air que je respire. On est à la fois devant et dans cette image.
Ce « sentiment » a posé les conditions de mon rapport à l'espace dans mon travail.
Comment rendre compte de ce réel respiré, supposé objectif, le rendre perceptible ?
Quand l’image d’une idée m’apparaît, c’est souvent une pensée hors de toute projection contextuelle. Le moteur principal de cette apparition reste lié aux hasards et aux malentendus des mouvements de ma poétique.
Sans chercher une singularité absolue, « mes préoccupations » sont les échelles, les rapports entre corps, objets et les espaces.
(S’il s’agit de marquer l’espace réel, à poser l’objet dans l’espace, je cherche autant à donner au corps mobile le moyen de le mesurer.)
…
Je sculpte des poupées, des baignoires, des passoires, des objets dont j'emprunte la forme, l'intention. Je prélève des bouts de nature, un nuage, un arbre pour fabriquer des morceaux de paysages à l'échelle du saisissable. C'est cette échelle du rapport du corps à l'espace, et de l'objet qui s'y pose, qui me motive, comme dans les sols peints ou percés, ou les propositions de promenades de brouettes miroirs pour traverser et transporter le monde à l'échelle du corps.
…
Le sol porteur de notre verticalité est avec le regard le premier contact avec l’espace dont l’objet devient parfois le vecteur…C’est ainsi que je sollicite la participation active du spectateur en lui proposant de déambuler librement avec la brouette miroir pour promener et transporter le monde à l’échelle de son corps.
Si la brouette miroir est utilisée comme un « objet déjà-fait » pour son usage véritable mais dans un sens plus élargi (transporter le réel, son image ou la couleur rouge), j’emprunte aussi la forme de l’objet comme modèle de départ. Je travaille alors la sculpture, par exemple la petite baignoire dans Rose, d’une manière traditionnelle (tailler, creuser un bloc d’albâtre, l’évider pour faire apparaître sa densité et l’amener à sa disparition possible, le dématérialiser, le trouer pour laisser l’air y circuler).
Jeanluc Hattemer, 2013
--------
Expositions personnelles
-
2015 dans « Comme un jeu d'enfant » de Daniel Buren, MAMCS, Strasbourg.
-
2012 dans « Excentrique(s) » de Daniel Buren, Monumenta, Grand Palais, Paris.
-
2006 Strasbourg.
...
-
1986 Galerie La cour des pucelles, Strasbourg.
Expositions collectives
-
2016 Les matines, Chemin d'Art Sacré, Église St Georges, Sélestat.
-
2015 Halle ronde, Givry
-
Les matines, in situ Église de Cortiambles
-
Maison de la Région, Strasbourg.
-
2014 Ateliers ouvert, Strasbourg.
-
2013 NUAGE, Musée Réattu, Arles.
-
2010 Ateliers ouvert, Strasbourg
...
-
1984 Jeune Peinture, Paris.
-
Sélest’ART, Sélestat.
​
Bourses, Résidences
-
2000 Aide individuelle à la Création/Drac Alsace pour la réalisation de l’oeuvre In situ « Himmelsfarth », colline du Bastberg.
-
2005 Aide individuelle à la création /DRAC Alsace pour le projet d’exposition « les rois mages ».
Acquisitions/Commandes publiques
-
Le Gisant de l’église saint Pierre et Paul: commande de la communauté de Pfaffenhoffen
-
Le Puit du Guet : commande de la ville de Preny pour le parcours du sentier d’interprétation avec Digital paysage.
-
Monument du Souvenir, commande du village Bosselshausen.
-
Himmelsfarth, grès, 5,1 x 2,3 x 0,42 m : In situ colline du Bastberg
CHAPELLE DU CARMEL
16 rue de la Motte - 71100 CHALON-SUR-SAÔNE
Entrée libre - tous les jours de 14 à 18 heures sauf le mardi
www.artimage-chalonsursaone.eu
​
​
Photos Jean-Pierre LOUBAT
Max CHARVOLEN
Limite(s)
Né en 1946 à Cannes.Participe au groupe INterVENTION (1968-1973) et aux manifestations de l’École de Nice depuis cette date. Co-fondateur du Groupe 70 (1970).
Vit et travaille à Cannes et dans les diverses villes où on lui propose des lieux sur lesquels exercer son travail de peintre.
http://portraitsdartistes.free.fr/maxcharvolen.html
http://documentsdartistes.org/charvolen
contact : max.charvolen@gmail.com
CHARVOLEN
Max Charvolen est né en 1946 à Cannes. Il a participé au groupe INterVENTION (1968-1973) et aux manifestations de l’École de Nice depuis cette date. Il est co-fondateur du Groupe 70 (1970).Ses œuvres sont présentes dans des collections publiques ou privées. Nombreuses expositions en Frances et à l’étranger.
“ Né en 1946 à Cannes, Max Charvolen se forme dans une région niçoise qui, dans les années soixante, connaît un intense bouillonnement créatif, lié aussi bien à la présence à Nice d’éminents représentants des avants-gardes de l’époque: Nouveaux Réalisme et Fluxus, qu’au développement de lieux originaux d’exposition, comme la Fondation Maeght.
Etudiant à l’école des arts décoratifs de Nice, puis à celle des beaux arts et d’architecture de Marseille, il se donne une double formation en peinture et architecture et fera son stage d’architecture à Rio, dans l’agence d’Oscar Niemeyer. Cette double exigence de sa formation se retrouve dans toute sa démarche ultérieure.
C’est dans ce contexte qu’il prend part, à la fin des années soixante, à l’une des dernières aventures historiquement repérées comme d’avant-garde dans notre pays: le retour analytique et critique de toute une génération d’artistes aux moyens et objets de la peinture après les détours par l’objet de consommation (Nouveau Réalisme) ou l’attitude (Fluxus).
Il participe ainsi au mouvement qui devait donner des groupes comme INterVENTION, ABC, Support-Surface ou Textruction. Lui-même fonde, avec Chacallis, Isnard, Maccaferri et Miguel, le Groupe 70.
Sa période purement expérimentale s’achève à la fin des années soixante-dix, quand il commence à poser les problèmes de support, de trace, de représentation, de déchirure, d’éparpillement et reconstruction, d’arrachement...en cessant de limiter sa reflexion et son travail aux seuls objets de la peinture et en “allant au sujet” d’une façon singulière.
La toile - son format, sa forme, son aspect, son épaisseur, sa coloration - se construit dans un rapport - immédiat - à des lieux que l’artiste investit. Sa mise au regard implique des procédures tout à fait inédites dans la peinture, du passage de trois à deux dimensions. Son travail peut concerner aussi bien des objets usuels que des lieux bâtis. Dans les cas des lieux bâtis, ce sont les espaces de transition, de passage ou de rupture qui sont le plus communément traités. L’exploration des possibilités de mise à plat permet à Charvolen de développer, entre autres, un rapport tout aussi original avec les sciences et les techniques: sa façon d’utiliser l’outil informatique est unique : elle est aussi éloignée que possible des réalisations de ce que l’on connait dans “l’image de synthèse”; Charvolen demande aux capacités de calcul des computers non de nous restituer les images que nous connaissons et que nous pouvons produire par d’autres moyens, mais de nous donner idée de l’incommensurable masse que nous ne connaissons forcément pas et et à quoi, seuls, ils peuvent nous donner accès. ”
Raphaël Monticelli
“Les portulans de l’immédiat - Max Charvolen 1979/1996, travaux sur bâtis”, Al Dante et Galerie Alessandro Vivas éds., Marseille 1997.
​
​
Vue de l'exposition
Anne MANGEOT
Sculptures et Installations
Exposition en partenariat avec A2C Givry
​
La sculpture d’Anne Mangeot n’imite en rien un arbre ou un buisson,
La sculpture d’Anne Mangeot n’imite en rien un arbre ou un buisson, d’autres formes s’interposent plus abstraites, ou plus imaginatives. L’objet sculpté devient lieu, habitacle peut-être, robe ou vertugadin sans ses jupons, que sais-je...
Tout s’imagine dans un système conceptuel implacable : jamais une ligne de trop, jamais une branche de trop. La sculpture d’Anne Mangeot est le contraire du bavardage. Poésie, sûrement, mais débarrassée des fioritures du langage. Poésie de légèreté et de solidité indéniables…
C’est cette reconstruction autre, souverainement abstraite, qui marque l’œuvre d’Anne Mangeot et qui la distingue de tous les courants précédents, arte povera, support-surface, land art... Sa sculpture est d’un autre dessein. Et puis, il y a quelque part dans son œuvre toute une charge très lointaine qui évoquerait les jeux de l’enfance - se faire une cabane, s’habiller de feuilles... une charge assez sauvage, qui révèle en nous des choses ancestrales, enfouies comme des secrets.
Jacquie Barral​
Anne MANGEOT 6 rue claudius collonge F-69002 lyon +33.(0)4.72.77.60.03
annemangeot.contact@gmail.com http://anne.mangeot.free.fr
​
vit & travaille à Lyon, France
expositions personnelles (sélection)
2017 Eglise de Cortiambles (71)
Halle de Givry (71)
2016 fête de l’Estampe, atelier personnel Lyon
2012 « rendez-vous à l’atelier », ouverture d’ateliers Rhône-Alpes, Lyon
« journée du Patrimoine », installations végétales, Vénissieux (rhône)
expositions collectives (sélection)
2017 fondation Villa Datris, »nature en sculpture », L’Isle-sur-la-Sorgue (84)
Journée de l’Estampe Comtemporaine, place St-Sulpice, Paris
2016 biennale de sculpture, L’Arbresle (rhône)
marché du Livre, Forcalquier (alpes de hte provence)
2015 «rendez-vous aux jardins : le banc », Dieulefit (drôme)
« Vagabond’Art », parcours land-art, Nantua (ain)
salon du livres d’artistes, Pollionnay (rhône)
« la grande exposition », art-Beynost, Beynost (ain)
« 2° : réchauffement climatique », action d’AiNIN du 29/11/15
2014 exposition collective, galleriWeber, Svendborg (Danemark)
« XS … XXelles », galerie « le 116art », Villefranche/Saône (rhône)
triennale d’art, Jura 2014 ; atelier de Kees de Vogdt, Marangea (Jura)
« l’enfant au jardin », jardin de Jocelyne & Victor, Chaponost (rhône)
« Artfareins », biennale de sculptures, château de Fareins (ain)
salon Art & Papier, Vezénobres (gard)
« histoires de livres », Bruxelles
2013 Graver Maintenant : « blanc », Rueil-Malmaison (hauts-de-seine)
« correspondances 2012 », Ebelingmuseet, Torshälla (Suède)
« points de repère », musée Paul Dini, Villefranche/Saône (rhône)
« artpage9 », Octon (hérault)
salons du livre d’artiste : Dives/Mer (14), Pollionnay (69), Marseille (13)
2012 marché de la Poésie, place St-Sulpice, Paris
sentier artistique du Champsaur, St-Bonnet-de-Champsaur (hautes-alpes)
2011 « Graver Maintenant : « en volume », Rueil-Malmaison (hauts-de-seine) prix Joos Stoop
« points de vue », Gensac (gironde)
« la ligne bleue », Etuefont (région de Belfort)
« art à la pointe », Audierne (finistère)
symposium de sculpture, Hautecour (savoie)
salon Page’s, Paris
residences (sélection)
2009 Finsk Grafiske Vaerksted (atelier de gravure), Odense (Denmark)
2007 atelier de Mark Di Suvero, Chalon/Saône (côte d’or)
collections (sélection)
- privées en : France, Suisse, Espagne, Allemagne, Belgique, Danemark, Japon.
- publiques : musées de Faënza (Italie) & de l’Ariana , Genève (Suisse) ; Gaesteatelier Hollufgärd , Odense (Danemark) ; «vent des forêts», Pierrefitte-sur-Aire (meuse) ; « cheminement de sculptures », Gigondas (vaucluse) ; Sagadi's Manor, Lääne-Viruma (Estonie) ; « fête de mai », Gesves (Belgique) ; Musée de Romans (drôme) ; Skulpturen im Park, Grafenhausen (Allemagne) ; Domaine d'Olivier de Serres du Pradel, Mirabel (ardèche) ; Ville de Noosa, Australie ; Ville de Saint-Priest (rhône) ; Ville de Vénissieux (rhône).
Bibliothèques : Dijon (21) ; Mâcon (71) ; Oullins (69) ; bibliothèque universitaire, section livres d’artiste, St-Etienne (42). Collection de Vis-à-Vis, Marseille (13).
depuis 1998 : résidences d’artiste en France & à l’étranger (art & nature ; gravure)
membre de AiNIN (« Artists in Nature In Network »)
activités professionnelles annexes : 1981-85 professeur d’arts plastiques
depuis 1999, interventions en milieu scolaire et en milieu urbain
Vues de l'exposition à la Halle ronde de Givry
Vues de l'exposition de Cortiambles
l'ensemble Tutti Arte lors du vernissage